• ...Des phrases

    Citations

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    «Il n'y a qu'une chose qui puisse rendre un rêve impossible, 
    c'est la peur d'échouer.»


    Paulo Coelho

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    La liberté n'est pas l'absence d'engagement, 
    mais la capacité de choisir.

    Paulo Coelho

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    Que l'importance soit dans ton regard, 
    non dans la chose regardée !

    André Gide

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    Les seuls beaux yeux 

    sont ceux qui vous regardent avec tendresse. 

    Coco Chanel

     

    Ma relation avec toi
    TOI et MOI vivons une relation que j'estime et que je veux sauvegarder. 
    Chacun de nous demeure cependant une personne distincte ayant ses propres besoins et le droit de les satisfaire. Je veux respecter ton droit de choisir tes propres croyances et d'établir tes propres valeurs même si elles diffèrent des miennes. 
    Lorsque tu me parles de tes problèmes, je veux t'écouter pour te comprendre et t'aider à découvrir tes propres solutions plutôt que de répondre des miennes. 
    Lorsque ma façon d'agir t'empêche de satisfaire tes besoins, je t'encourage à me dire ouvertement et sincèrement ce que tu ressens; alors je t'écoute et j'essaie de modifier mon comportement. 
    Lorsque ta façon d'agir m'empêche de satisfaire mes besoins, je t'exprime ouvertement et sincèrement mes sentiments, car j'ai confiance que tu respectes suffisamment mes besoins pour m'écouter et essayer de modifier ton comportement. 
    Dans les situations où, ni toi et ni moi, ne pouvons changer notre façon d'agir pour permettre à l'autre de satisfaire ses besoins, engageons nous à résoudre ces inévitables conflits sans recourir au pouvoir pour gagner aux dépends de l'autre. Je respecte tes besoins et je veux aussi respecter les miens. Appliquons-nous à trouver des solutions acceptables pour chacun de nous ; tu peux y satisfaire tes besoins et moi aussi. Personne ne perd, nous y gagnons tous les deux. 
    Ainsi, nous continuons à nous épanouir l'un et l'autre car nous en retirons, toi et moi, satisfaction. Chacun de nous peut devenir ce qu'il est capable d'être. 
    Nous poursuivons notre relation dans le respect et l'amour mutuel, dans l'amitié et la paix. 

    Thomas Gordon

    Il n'y a pas de vieille femme.Toute à tout âge, si elle aime, si elle est bonne, donne à l'homme le moment de l'infini.

    Jules Michelet

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    Cette plus compliquée et plus confondante que l'harmonie des sphères:un couple.

    Julien Gracy

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    Se servir d'une seule âme pour être deux.

    Paul Claudel

    Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme

    Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin,
    Verse confusément le bienfait et le crime,
    Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

    Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore ;
    Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
    Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
    Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.

    Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
    Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
    Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
    Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

    Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ;
    De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
    Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
    Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.

    L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
    Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
    L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
    A l'air d'un moribond caressant son tombeau.

    Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
    Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !
    Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
    D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?

    De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
    Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
    Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
    L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?

    Charles Baudelaire.(Les fleurs du mal.)
    Se voir le plus possible et s'aimer seulement,
    Sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge,
    Sans qu'un désir nous trompe, ou qu'un remords nous ronge,
    Vivre à deux et donner son coeur à tout moment ;
    Respecter sa pensée aussi loin qu'on y plonge,
    Faire de son amour un jour au lieu d'un songe,
    Et dans cette clarté respirer librement.
    Ainsi respirait Laure et chantait son amant.
    Vous dont chaque pas touche à la grâce suprême,
    Cest vous, la tête en fleurs, qu'on croirait sans souci,
    C'est vous qui me disiez qu'il faut aimer ainsi.
    Et c'est moi, vieil enfant du doute et du blasphème,
    Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci :
    Oui, l'on vit autrement, mais c'est ainsi qu'on aime.

    Alfred de Musset 

    "- Elle était fort déshabillée

    Et de grands arbres indiscrets
    Aux vitres jetaient leur feuillée
    Malinement, tout près, tout près.


    Assise sur ma grande chaise,
    Mi-nue, elle joignait les mains.
    Sur le plancher frissonnaient d'aise
    Ses petits pieds si fins, si fins


    - Je regardai, couleur de cire
    Un petit rayon buissonnier
    Papillonner dans son sourire
    Et sur son sein, - mouche ou rosier


    - Je baisai ses fines chevilles.
    Elle eut un doux rire brutal
    Qui s'égrenait en claires trilles,
    Un joli rire de cristal


    Les petits pieds sous la chemise
    Se sauvèrent : "Veux-tu en finir !"
    - La première audace permise,
    Le rire feignait de punir !


    - Pauvrets palpitants sous ma lèvre,
    Je baisai doucement ses yeux :
    - Elle jeta sa tête mièvre
    En arrière : "Oh ! c'est encor mieux !... 


    "Monsieur, j'ai deux mots à te dire..."
    - Je lui jetai le reste au sein
    Dans un baiser, qui la fit rire
    D'un bon rire qui voulait bien.....


    - Elle était fort déshabillée
    Et de grands arbres indiscrets
    Aux vitres jetaient leur feuillée
    Malinement, tout près, tout près.

    Arthur Rimbaud

    O toi tous mes plaisirs, ô toi tous mes devoirs !ô serments ! ô parfums ! ô baisers infinis !

    Tu es un beau ciel d'automne, clair et rose !Nous aurons des lits pleins d'odeurs legeres,

    des divans profonds comme des tombeaux,et d'etranges fleurs sur des étagères,écloses pour nous sous des cieux plus beaux.

    Moi j'ai la levre humide et je sais la science de perdre au fond d'un lit l'antique conscience.

    Les anges impuissants se damneraient pour moi !

    Charles Baudelaire

     

    J'en vois des qui s'donnent,


    donnent des bijouxdans le cou

    c'est beau mais quand même
    ce ne sont que des cailloux

    des pierres qui vous roulent, roulent
    et qui vous coulent
    sur les joues
    j'aime mieux que tu m'aimes
    sans dépenser des sous

    moi je m'en moque
    j'envoie valser
    les truc en toc
    les cages dorées
    toi quand tu m'serres très fort
    c'est comme un trésor
    et ça
    et ça vaut de l'or

    j'en vois des qui s'lancent des regards
    et des fleurs
    puis qui s'laissent quelque part
    ou ailleurs
    entre les roses et les choux
    j'en connais des tas qui feraient mieux de s'aimer un peu
    un peu comme nous
    qui nous aimons beaucoup

    et d'envoyer
    ailleurs
    valser
    les bagues et les
    cœurs
    en collier
    car quand on s'aime très fort
    c'est comme un trésor
    et ça
    et ça vaut de l'or

    moi pour toujours
    j'envoie valser
    les preuves d'amour
    en or plaqué
    puisque tu m'serres très fort
    c'est là mon trésor
    c'est toi
    toi qui vaut de l'or

    Paroles et Musique: Zazie   1996 "Zen"